Sommaire
L’exploration des humiliations et des contraintes dans des lieux publics reste largement confidentielle en raison des implications légales. Conformément à l’article 222-32 du code pénal, seules les attitudes obscènes ou provocatrices peuvent être incriminées dans de telles situations. Dans ce type de dynamique, l’intimité des participants est préservée, et aucune tierce personne n’est censée être témoin des actes, sauf les personnes impliquées. Tout savoir sur l'exhibition dans cet article.
L’exhibition, comment ça marche ?
Pour débuter, encouragez votre partenaire à sortir en public sans sous-vêtements, discrètement dissimulant des boules de geisha dans son vagin, un chapelet thaïlandais dans son anus ou même des pinces tétons aux extrémités de ses seins. En visitant https://www.loverondes.com, vous trouverez des femmes rondes pour un plan cul.
En effet, le frisson de prendre le risque que d’autres puissent deviner ce qui se trame ajoute une dimension excitante à l’expérience du couple. Donner l’ordre à votre partenaire d’accomplir des actes
farfelus dans un café, lors d’une soirée ou même dans un coin de parking peut être un jeu jouissif. Dans un restaurant que vous avez soigneusement sélectionné pour ses nappes blanches longues, le partenaire en question attachera des pinces à son propre sexe avant d’ajuster ses vêtements. Un cordon sera relié aux pinces, permettant au partenaire dominant, d’assister en face, de les tirer de temps en temps discrètement sous la table.
Cependant, il est impératif de souligner que ce genre de jeu d’exposition nécessite une certaine dose de bravoure. Alors que vous imaginez des scénarios créatifs, il est essentiel de ne pas perdre de vue que ces expériences restent transgressives.
L’exposition des esclaves, un jeu de soumission captivant
Une variante intrigante des jeux d’exposition implique la présentation de lots devant un public soigneusement choisi, suivi d’un concours d’esclaves. Les invités examinent les « marchandises », caressent les seins des participants ou évaluent les attributs des concurrents masculins.
Un jury déterminant les épreuves, par exemple, une soumise peut être chargée de nettoyer les chaussures avec sa langue, de boire du champagne dans un escarpin, de servir de repos-pieds ou même de défouloir. Les sensations inoubliables émergent lorsque le jeu d’exposition se complexifie en bandant les yeux des esclaves, les exposant ainsi au toucher d’inconnus, à un environnement sonore mystérieux, et à une incertitude excitante.
Lors d’une soirée entre amis partageant un goût pour les jeux de domination/soumission, organisez une compétition mettant en concurrence deux ou trois soumis, voire davantage, pour récompenser l’endurance, l’habileté ou l’exigence. Donnez-leur des instructions pour se présenter : nus et à genoux, mains liées dans le dos devant les « tops », la langue sortie et le ventre contracté.
Ils devront se déplacer à quatre pattes, onduler comme des félins, faire des pompes, etc. Après délibération, les vainqueurs seront récompensés avec des objets tels que des plombs de canne à pêche, un concombre à usage personnel, un fouet ou une caisse à outils.
Location, prêt et vente d’esclaves : des fantasmes excitants
Les fantasmes de location, de prêt, ou de vente d’esclaves suscitent une excitation mentale chez les soumis, que ce soit en les prêtant temporairement ou en les cédant à d’autres « tops » lors de « ventes d’esclaves » que l’on peut trouver dans certains clubs parisiens.
Lorsque vous assistez à une soirée de ce type en club, il est important de noter que l’esclave « vendu » n’est généralement pas réellement transféré à un autre propriétaire. Au lieu de cela, des bons ou de la monnaie factice sont échangés, ce qui vous permet d’acquérir d’autres lots et de les utiliser au cours de la soirée. Veillez à choisir une tenue appropriée pour votre soumis, car il devra monter sur un podium et se présenter devant le public.
Il est essentiel de discuter des limites avec votre partenaire avant la soirée. En général, un lot est « vendu » pour des activités spécifiques, telles que trente coups de fouet, des jeux de bondage amateurs, ou même le lavage de la voiture d’un « top » à son domicile.
Il existe souvent des restrictions pour garantir la sécurité et le consentement de tous les participants, par exemple, l’interdiction de donner des coups de fouet sur les seins d’une femme ou de demander une fellation ou une pénétration à une esclave féminine. Le marché de ces fantasmes attribue une valeur particulière aux participants, et il est courant qu’une femme « vaille » plus que dix hommes.